ME du BPT Deauville
Modérateur : Membres du CA
Le Main Event commence donc le Samedi à 12h, nous sommes 154 et je m'aperçois rapidement qu'ils se connaissent à peu près tous, se font la bise, s'appelle par leur surnom...
La team Barrière est là évidemment, Dhorasso aussi, et plein de têtes connues que l'on voit dans les magazines mais dont je ne connais pas les noms.
Le tournoi commence avec la moitié des joueurs à la table (il semble que pour avoir l'air d'un véritable joueur de Poker pro, il faille absolument arriver en retard à la table, les fishs comme moi s'asseyant quant à eux 5 minutes avant le début du tournoi), et je m'aperçois rapidement que cela joue très serré (Shadow passerait presque pour un joueur fantasque à cette table !!!).
Au bout d'une heure de jeu, RAS les stacks vont de 18000 à 22000, et je touche ma première belle main
de SB.
Un joueur limp à 100, je realnce 400, la BB colle, le limper colle.
Flop
Je bet 900, tout le monde se couche. J'aurais certainement dû tenter un check raise avec ce flop à prioiri anodin, mais bon ce qui est pris n'est plus à prendre.
La pause arrive le stack moyen est à 21200, mon stack aussi.
Le jeu reprend, je continue de me dire que ça joue vraiment serrure, quand deux joueurs se font sortir sur deux mains identiques d'affilée : 
VS , les deux fois ça part à tapis pré-flop et les As tiennent.
RAS pendant un petit moment, mon stack est à 20500, les blinds 150-300, et là le coup qui m'a fait très mal :
Milieu de parole, je touche 
, je relance à 800, et suis suivi par un joueur :
Flop :
Je check, il bet 1800 soit environ le pot, je chosis de relancer à 3900, il paie.
Turn : :10h
Je bet 4700, il paie
River :
Je check, lui aussi, il me montre
, j'ai perdu la moitié de mon stack, et je suis vraiment dégouté de m'être engagé dans ce coup, je me console en me disant que je l'ai fait face au joueur le plus actif de la table, et qu'il y a bien que là que cela pouvait avoir un sens (on se remonte le moral comme on peut !).
La suite n'est qu'une lente agonie qui durera environ deux heures, traversée du désert, attaque de mes blinds à tour de rôle ...
La dernière pause du Day 1 arrive à grand pas, nous sommes encore 110, et je suis en mode Push or Fold avec un stack de 7000 et des blinds 300-600, je push une pemière fois de BB avec 
alors que le bouton m'avais relancé, il se couche.
Je push une seconde fois avec
tout le monde fold.
Puis à la dernière main avant la pause, je suis de BB, tout le monde s'est déjà levé, et le bouton qui a le même stack que moi m'envoie la boite avec :10s , je paye avec 
Flop : :10c
River :
Turn :
N'en jetez plus ! Me voilà dehors à la 95ème place, avec une impression mitigée, celle de ne pas avoir beaucoup joué, mais encore trop, puisque la main qui m'as fait perdre la moitié de mon stack à un moment où personne ne jouait m'as été fatale. A partir de ce moment les blinds sont devenus plus interressantes, la table plus active, mais je n'avais pas assez devant moi pour me permettre de bouger sans des monstres qui ne sont jamais venus.
J'ai tout de même passé un excellent moment, qui je l'espère me servira d'expérience pour le tournoi de Dublin dans un mois.
A bientôt
La team Barrière est là évidemment, Dhorasso aussi, et plein de têtes connues que l'on voit dans les magazines mais dont je ne connais pas les noms.
Le tournoi commence avec la moitié des joueurs à la table (il semble que pour avoir l'air d'un véritable joueur de Poker pro, il faille absolument arriver en retard à la table, les fishs comme moi s'asseyant quant à eux 5 minutes avant le début du tournoi), et je m'aperçois rapidement que cela joue très serré (Shadow passerait presque pour un joueur fantasque à cette table !!!).
Au bout d'une heure de jeu, RAS les stacks vont de 18000 à 22000, et je touche ma première belle main
de SB.Un joueur limp à 100, je realnce 400, la BB colle, le limper colle.
Flop
Je bet 900, tout le monde se couche. J'aurais certainement dû tenter un check raise avec ce flop à prioiri anodin, mais bon ce qui est pris n'est plus à prendre.
La pause arrive le stack moyen est à 21200, mon stack aussi.
Le jeu reprend, je continue de me dire que ça joue vraiment serrure, quand deux joueurs se font sortir sur deux mains identiques d'affilée :
VS , les deux fois ça part à tapis pré-flop et les As tiennent.RAS pendant un petit moment, mon stack est à 20500, les blinds 150-300, et là le coup qui m'a fait très mal :
Milieu de parole, je touche
, je relance à 800, et suis suivi par un joueur :Flop :
Je check, il bet 1800 soit environ le pot, je chosis de relancer à 3900, il paie.
Turn : :10h
Je bet 4700, il paie
River :
Je check, lui aussi, il me montre
, j'ai perdu la moitié de mon stack, et je suis vraiment dégouté de m'être engagé dans ce coup, je me console en me disant que je l'ai fait face au joueur le plus actif de la table, et qu'il y a bien que là que cela pouvait avoir un sens (on se remonte le moral comme on peut !).La suite n'est qu'une lente agonie qui durera environ deux heures, traversée du désert, attaque de mes blinds à tour de rôle ...
La dernière pause du Day 1 arrive à grand pas, nous sommes encore 110, et je suis en mode Push or Fold avec un stack de 7000 et des blinds 300-600, je push une pemière fois de BB avec
alors que le bouton m'avais relancé, il se couche.Je push une seconde fois avec
tout le monde fold.Puis à la dernière main avant la pause, je suis de BB, tout le monde s'est déjà levé, et le bouton qui a le même stack que moi m'envoie la boite avec :10s
, je paye avec Flop : :10c
River :
Turn :
N'en jetez plus ! Me voilà dehors à la 95ème place, avec une impression mitigée, celle de ne pas avoir beaucoup joué, mais encore trop, puisque la main qui m'as fait perdre la moitié de mon stack à un moment où personne ne jouait m'as été fatale. A partir de ce moment les blinds sont devenus plus interressantes, la table plus active, mais je n'avais pas assez devant moi pour me permettre de bouger sans des monstres qui ne sont jamais venus.
J'ai tout de même passé un excellent moment, qui je l'espère me servira d'expérience pour le tournoi de Dublin dans un mois.
A bientôt
Un vieux sage Bourguignon a dit un jour : "on est tous le fish de quelqu'un ! Et ça c'est pas grave.", parait-il qu'il a même rajouté : "Ce qui est plus ennuyeux, c'est quand on est le fish de tout le monde !"
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